On les a surnommés "Ken et Barbie" parce qu’ils étaient jeunes, beaux, blonds... et superficiels. Il voulait des esclaves sexuelles à violer, elle les lui fournissait sur un plateau "par amour". Ce couple de Canadiens, mariés, bien sous tout rapport, habitant aux alentours de Toronto, a violé au moins 20 femmes, et assassiné 3 adolescentes, dont la propre soeur de Karla. Et, vu les lenteurs de la police, ils n’auraient peut-être jamais été arrêtés si Bernardo n’avait fini par se lasser d’Homolka et s’était mis la battre, ce qu’elle n’a pu supporter venant de son "chéri".
Ce film m'intéressait beaucoup au début puisque je suis une amatrice de biographies et que l'histoire de Karla Homolka m'apparaissait ambigüe. Finalement, je n'aurais pas dû l'écouter, ou j'aurais peut-être tout simplement dû en lire plus sur elle pour savoir que sa vie n'avait rien d'humain. Ce film n'accorde aucune pitié ou humanité et en fait, j'ai beaucoup de difficulté à m'imaginer que quelqu'un pouvait tout simplement vivre cette vie. Je n'ai pas eu à regarder plus d'une heure et demi ce film pour être complètement déprimée. Cette femme n'était nullement bien dans sa tête, pas plus que son mari. Une chose est sûre, c'est qu'à présent je sais pourquoi elle est en prison.
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